Anouk Aimée ~ Françoise Sorya Dreyfus (son vrai nom) née le 27 avril 1932 à Paris (France), est une actrice française.
Le prochain Festival international du film rendra hommage à l'actrice Anouk Aimée.
Du
29 juin au 8 juillet prochains, La Rochelle accueillera le 40e festival
international du film de La Rochelle. 40 ans : l'âge où, paraît-il, la
vie recommence ! Quoi qu'il en soit, louons le cinéma, la plus
merveilleuse des inventions, avec le livre, puisqu'elle nous permet de
vivre plusieurs existences et, souvent, de nous consoler de la nôtre.
Louons surtout les choix de la direction du Festival rochelais qui, une
fois de plus, à l'occasion de l'édition 2012, mêle le cinéma d'hier et
celui d'aujourd'hui, le muet et le parlant, le divertissement et la
réflexion, et puise autant dans le patrimoine cinématographique étranger
que dans le patrimoine français.
Anouk et Agnès
La
programmation détaillée ne sera connue que fin avril. Elle réservera
beaucoup de surprises, 40e anniversaire oblige. Mais on connaît déjà les
grands événements, que voici. Des hommages seront rendus, en leur
présence, à une actrice et à quatre réalisateurs.
L'actrice ?
Elle a été la Juliette de Cayatte («Les amants de Vérone »), la « Lola »
de Jacques Demy, la Maddalena de Fellini («La Dolce Vita ») puis sa
Luisa («Huit et demi ») ou encore l'Anne de Lelouch («Un homme et une
femme »). Anouk Aimée honorera le Festival de sa présence et les
spectateurs se régaleront de quinze de ses films.
Actrice
mythique, elle fut une inoubliable Lola chez Jaques Demy, énigmatique et
mystérieuse chez Federico Fellini dans la Dolce vita et 8 ½.
Elle
acquiert une renommée internationale avec le succès d'Un homme et une
femme de Claude Lelouch, Palme d'Or en 1966, qui lui vaut le Golden
Globe de la meilleure actrice. Au cours de sa carrière, elle tournera
avec les plus grands noms du cinéma Bernardo Bertolucci, Anatole Litvak,
Vittorio de Sica, André Delvaux, George Cukor, Robert Altman.
Elle remporte le Prix d'interprétation féminine à Cannes en 1980 pour Le saut dans le vide de Marco Bellocchio.
Pour Gilles Jacob : « Anouk Aimée est l'une des plus belles incarnations de la féminité au cinéma ».
07/01/2011
La Vérité sur le Cancer
« CANCER LA SCIENCE EN ECHEC : Malgré l’énormité des moyens engagés depuis 35 ans par les pays occidentaux, la lutte contre le cancer est un échec. »
Docteur Laurent Schwartz. La Recherche n°284 Fev 1996
Découvertes Interdites sur le Cancer :
En France, en 25 ans, l’incidence du cancer est de 93 % chez l’Homme, et de 84 % chez la Femme. Il est donc Temps que vous sachiez la Vérité.
Pour éviter le cancer, le docteur André Gernez préconise un "protocole de prévention active" qui se traduit par une mise en acidose de l'organisme via un jeûne relatif prenant la forme d'une réduction alimentaire pendant trente jours chaque année à partir de l'âge de risque qui se situe à la quarantaine et la prise d'un traitement préventif. La perte de poids doit être limitée à 1% sur une période de deux semaines pour les personnes âgées de plus de 65 ans, avec renouvellement de la procédure six mois après (soit deux cures annuelles). Gernez estime que le seuil de détection du cancer à 1 milliards de cellules cancéreuses est bien trop éloigné du seuil d'irréversibilité qui se situe à un million de cellules cancéreuses.
Selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Inserm sur un échantillon de 13 000 volontaires, la consommation de vitamines et de minéraux antioxydants naturellement présents dans les fruits et légumes ferait baisser d’un tiers le risque de cancer chez les hommes de 45 à 60 ans. Le docteur Gernez et le professeur Willem affirment qu'une étude INSERM réalisée sur des souris démontre dès 1971 que le cancer peut être évité dans 93% des cas.
... Un médicament prometteur ne tient pas ses promesses...
Deux études étaient consacrées ces dernières années à un nouveau médicament, le Semagacestat, destiné à stopper la maladie d’Alzheimer. Malheureusement, celui-ci n’est pas efficace et a des effets secondaires indésirables. Les recherches ont donc été stoppées.
Dans le cas de la maladie d’Alzheimer, des plaques de protéines appelées « bêta-amyloïdes » s’accumulent dans le cerveau. L’hypothèse était donc, pour de nombreux chercheurs, que ces amas étaient responsables de la maladie d’Alzheimer, et le médicament, objet des études aujourd’hui interrompues, devait justement réduire ces fameuses plaques. De ce côté, il a parfaitement joué son rôle. Les plaques de protéines ont bien diminué dans le cerveau des patients concernés par les études. Mais ces personnes n’ont pas vu leur état s’améliorer. Ni leur mémoire ni leurs fonctions cognitives n’ont bénéficié du traitement et, c’est le pire, leur capacité à accomplir les tâches quotidiennes a encore faibli…
Pour le Docteur Judes Poirier, biochimiste québécois spécialiste de la maladie d’Alzheimer, ces résultats n’ont rien d’étonnant : « Chez la souris tout comme chez les personnes âgées, la présence de plaques de protéines bêta-amyloïdes n’est associée ni à la perte de neurones ni à la perte de mémoire, même lorsque le cerveau est plein d’amyloïdes ».
D’autres hypothèses quant aux causes de la maladie d’Alzheimer devront donc être étudiées si l’on veut trouver des remèdes.
Bien qu’il n’existe pas de traitement médicamenteux efficace pour soigner la maladie d’Alzheimer, un certain nombre de recherches ont permis de montrer qu’il était possible de freiner son évolution :
- D’après les recherches de scientifiques brésiliens, certaines plantes médicinales telles que la mélisse, la sauge et le Ginkgo biloba réduiraient les symptômes liés à la maladie. - Une vie sociale et intellectuelle active (jouer aux cartes, faire des mots croisés, rencontrer des amis, avoir une vie associative…), une alimentation riche en oméga 3 et une activité physique régulière sont autant d’atouts pour limiter également l’emprise de la maladie sur la qualité de vie.
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Il a réalisé un travail qui allait du reportage photo à la mode, des orphelins de Danang pendant la guerre du Viêt Nam aux portraits de Marilyn Monroe, Brigitte Bardot ou Sophia Loren. Il restera connu pour ses innombrables portraits en noir et blanc. Avedon a su faire de la photographie un art véritable après avoir initialement rencontré le succès avec la photographie de mode.
Avedon est né à New York dans une famille juive d’origine russe. Son père est un commerçant dans l'habillement. Il lui offre son premier appareil photographique à l'âge de 10 ans avec lequel il réalise le portrait de Sergueï Rachmaninov, le voisin de ses grands-parents. Sa mère assure son éveil artistique.
Après avoir brièvement fréquenté l’université de Columbia, il commence sa carrière de photographe dans la marine américaine (corps de la Merchant Marine) en 1942, en prenant des photographies d’identité des équipages avec le Roleiflex que son père lui avait offert.
En 1944, il commence à travailler comme photographe publicitaire pour un grand magasin mais est rapidement découvert par Alexey Brodovitch, directeur artistique du magazine de mode Harper's Bazaar et directeur d'une école de design. En 1946, Avedon créé son propre studio et fournit des photographies pour des magazines comme Vogue et Life. Il devient rapidement le directeur de la photographie de Harper's Bazaar. Avedon s’éloigne des techniques de prise de vue de la photographie de mode, où les modèles semblent ne rien ressentir : il montre, au contraire, des modèles emplis d’émotions, en train de rire ou de sourire, et souvent, en action.
En 1966, Avedon quitte son travail chez Harper's Bazaar et rejoint Vogue. Avedon, continue son travail de photographe de mode, mais se lance dans des travaux plus personnels: il photographie des malades internés dans des hôpitaux psychiatriques, la lutte pour les droits civiques aux États-Unis ou encore des manifestants contre la guerre du Viêt Nam.
À ce moment également, Avedon réalise deux célèbres séries de portraits des Beatles. La première, réalisée à la fin de l’année 1966 ou au début de 1967, est devenue un des premiers posters majeurs du groupe et est composée de cinq portraits psychédéliques : quatre portraits individuels en couleurs fortement solarisés (solarisation des tirage par son assistant, Gideon Lewin, retouche par Bob Bishop) et un portrait de groupe en noir et blanc pris avec un Rolleiflex et un objectif Planar. L’année suivante il réalise des portraits plus retenus, inclus dans le White Album en 1968.
Avedon s’est toujours intéressé à la manière dont le portrait photographique traduit la personnalité et l’âme de son sujet. Tandis que sa réputation comme photographe allait grandissante, il amena dans un studio de nombreux visages célèbres et les photographia avec un grand format 8x10. Ses portraits se distinguent facilement par leur style minimaliste où la personne regarde directement l’objectif, en posant bien de face, sur un fond totalement blanc.
En 1974, il expose au musée d'Art Moderne de New York (MoMA) des portraits de son père rongé par un cancer.
Avedon s’est également fait remarquer par ses grands formats, parfois d’un mètre de haut ou plus. Ses portraits grand format de pêcheurs, mineurs et cow-boys du grand ouest américain sont devenus des livres à succès et font l’objet d’une exposition itinérante intitulée In the American West. Ces travaux sont considérés aujourd’hui comme caractéristique de la photographie du XXe siècle et comme faisant partie des œuvres majeures de Avedon. Avedon, à la demande du Amon Carter Museum à Fort Worth (Texas) s’est lancé en 1979 dans un projet de six ans qui lui a permis de réaliser 125 portraits de gens de l’ouest américains. Avedon a dépeint les travailleurs comme les mineurs et les ouvriers des champs pétroliers dans leurs vêtements sales, des pêcheurs au chômage et des adolescents dans l’Ouest vers 1979-1984. Quand il a, pour la première fois, publié et exposé ces œuvres, « In the American West », a été critiqué pour avoir montré ce que d’aucuns considèrent comme une face peu flatteuse des États-Unis. Toutefois, Avedon a toujours été objet de louanges pour avoir traité ses sujets avec la même attention et la même dignité que celle habituellement accordée au pouvoir politique et aux célébrités.
Avedon devient le premier et unique photographe du The New Yorker en 1992 brisant ainsi un long tabou, à la demande de Tina Brown. Il remporte de nombreux prix pour ses travaux dont celui de l’International Center of Photography en 1993, le Prix Nadar en 1994 pour son livre Evidence, et la médaille du 150e anniversaire de la Royal Photographic Society en 2003.
Le 25 septembre 2004, Avedon fut frappé d’une hémorragie cérébrale à San Antonio au Texas alors qu’il travaillait sur une commande du New Yorker. Il est décédé le 1er octobre à San Antonio. Au moment de son décès, Avedon travaillait sur un projet intitulé On Democracy qui portait sur les préparatifs de l’élection présidentielle américaine de 2004.
Aux États-Unis, un musée est totalement consacré à son œuvre.
Il a une sœur cadette, Louise, née en 1925, dont il tirera plusieurs portraits, et qui finira à l'asile pyschiatrique où elle meurt à 42 ans.
En 1944, Avedon épouse Dorcas Nowell, qui deviendra plus tard une modèle et qui sera connue professionnellement sous le nom de Doe Avedon. Nowell et Avedon divorcent au bout de 5 ans de mariage. En 1954, il se remarie avec Evelyn Franklin et de leur union naîtra un fils, John. Avedon et Franklin divorcèrent plus tard.
Avedon a inspiré le personnage principal du film Funny face (Drôle de frimousse), réalisé par Stanley Donen en 1957.
De son vrai nom Pieter Cornelis Mondriaan – il changera son patronyme en 1912 à Paris pour se distinguer de son oncle très réservé à l’égard de son art -, Mondrian naît à Amersfoort et étudie à l’Académie des Beaux-arts d’Amsterdam entre 1892 et 1895, sans grand succès. Il commence par créer des paysages réalistes avant d’évoluer vers une forme de fauvisme et de divisionnisme après sa découverte de Jan Toorop, Jan Sluyters, mais aussi de Munch, de Seurat et de Van Gogh ; il remplace alors la couleur naturelle par la couleur pure : " J’en étais venu à comprendre qu’on ne peut représenter les couleurs de la nature sur la toile. " Commence alors une période de transition pendant laquelle il conjugue les couleurs du fauvisme et les formes du modern style dans Bois près d’Oele (1908), il s’interroge sur le sens du motif comme prétexte et adhère à la théosophie, voulant faire de sa peinture un langage universel (Dévotion, 1908 ; Evolution, triptyque, 1910-1911). En 1912, il s’installe à Paris et approfondit son approche du cubisme : il a découvert Cézanne, Braque et Picasso dès 1911 et Nature morte au pot de gingembre I et II (1912) souligne ses expérimentations cubistes : une grille couvre le tableau et il s’efforce d’y inscrire toutes les figures. En 1913, il travaille en séries et crée ses premières toiles abstraites (Composition n°II). En 1914, il repart en Hollande au chevet de son père mais est contraint d’y rester deux ans à cause de la guerre : il travaille alors sur l’opposition des éléments et la combinaison des notations géométriques (les signes plus et moins représentant la mer) et du motif (Jetée et océan, 1915 ; Composition, 1916). En 1917, Composition avec lignes noires est le point d’aboutissement de cette recherche de l’abstraction. Mondrian travaille ensuite sur la couleur, fait des essais de superpositions et de lignes (Composition avec plan de couleur A et B et Compositions avec plan de couleur en 1917) et imagine une structure linéaire organisatrice (Composition : plan de couleur avec lignes grises, 1918), qui conduit à la grille modulaire all-over (dans neuf toiles, en 1918 et 1919). De retour à Paris en 1919, il renonce à cette grille mettant en valeur le particulier alors qu’il se tourne au contraire à cette époque vers le néoplasticisme qu’il nomme " principe général de l’équivalence plastique ". Parallèlement, ses textes évoquent une société future parfaitement équilibrée où chaque élément trouve sa justification ; son utopie architecturale, basée sur une fusion généralisée (de la maison avec la rue, de la rue avec la ville…), va dans le même sens. Mondrian participe à toutes les manifestations de l’avant-garde européenne et en particulier aux groupes " Cercle et Carré " (1929) puis " Abstraction-Création " (1931). Il poursuit ses recherches sur le néoplasticisme, intègre dans ses compositions la notion de rythme après sa découverte du jazz, limite puis accentue le rôle de la couleur, notamment à partir de 1940 quand il s’installe à New York (New York City I, 1942). A sa mort, il laisse inachevé le Victory Boogie Woogie.