07/01/2011

La Vérité sur le Cancer




« CANCER LA SCIENCE EN ECHEC : Malgré l’énormité des moyens engagés depuis 35 ans par les pays occidentaux, la lutte contre le cancer est un échec. »

Docteur Laurent Schwartz. La Recherche n°284 Fev 1996



Découvertes Interdites sur le Cancer :

En France, en 25 ans, l’incidence du cancer est de 93 % chez l’Homme, et de 84 % chez la Femme. Il est donc Temps que vous sachiez la Vérité.



Pour éviter le cancer, le docteur André Gernez préconise un "protocole de prévention active" qui se traduit par une mise en acidose de l'organisme via un jeûne relatif prenant la forme d'une réduction alimentaire pendant trente jours chaque année à partir de l'âge de risque qui se situe à la quarantaine et la prise d'un traitement préventif. La perte de poids doit être limitée à 1% sur une période de deux semaines pour les personnes âgées de plus de 65 ans, avec renouvellement de la procédure six mois après (soit deux cures annuelles). Gernez estime que le seuil de détection du cancer à 1 milliards de cellules cancéreuses est bien trop éloigné du seuil d'irréversibilité qui se situe à un million de cellules cancéreuses.

Selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Inserm sur un
échantillon de 13 000 volontaires, la consommation de vitamines et de minéraux antioxydants naturellement présents dans les fruits et légumes ferait baisser d’un tiers le risque de cancer chez les hommes de 45 à 60 ans. Le docteur Gernez et le professeur Willem affirment qu'une étude INSERM réalisée sur des souris démontre dès 1971 que le cancer peut être évité dans 93% des cas.


La Vérité sur la Santé



Alzheimer : Une fausse piste…




... Un médicament prometteur ne tient pas ses promesses...


Deux études étaient consacrées ces dernières années à un nouveau médicament, le Semagacestat, destiné à stopper la maladie d’Alzheimer. Malheureusement, celui-ci n’est pas efficace et a des effets secondaires indésirables. Les recherches ont donc été stoppées.




Dans le cas de la maladie d’Alzheimer, des plaques de protéines appelées « bêta-amyloïdes » s’accumulent dans le cerveau. L’hypothèse était donc, pour de nombreux chercheurs, que ces amas étaient responsables de la maladie d’Alzheimer, et le médicament, objet des études aujourd’hui interrompues, devait justement réduire ces fameuses plaques. De ce côté, il a parfaitement joué son rôle. Les plaques de protéines ont bien diminué dans le cerveau des patients concernés par les études. Mais ces personnes n’ont pas vu leur état s’améliorer. Ni leur mémoire ni leurs fonctions cognitives n’ont bénéficié du traitement et, c’est le pire, leur capacité à accomplir les tâches quotidiennes a encore faibli…

Pour le Docteur Judes Poirier, biochimiste québécois spécialiste de la maladie d’Alzheimer, ces résultats n’ont rien d’étonnant : « Chez la souris tout comme chez les personnes âgées, la présence de plaques de protéines bêta-amyloïdes n’est associée ni à la perte de neurones ni à la perte de mémoire, même lorsque le cerveau est plein d’amyloïdes ».

D’autres hypothèses quant aux causes de la maladie d’Alzheimer devront donc être étudiées si l’on veut trouver des remèdes.


Bien qu’il n’existe pas de traitement médicamenteux efficace pour soigner la maladie d’Alzheimer, un certain nombre de recherches ont permis de montrer qu’il était possible de freiner son évolution :

- D’après les recherches de scientifiques brésiliens, certaines plantes médicinales telles que la mélisse, la sauge et le Ginkgo biloba réduiraient les symptômes liés à la maladie.
- Une vie sociale et intellectuelle active (jouer aux cartes, faire des mots croisés, rencontrer des amis, avoir une vie associative…), une alimentation riche en oméga 3 et une activité physique régulière sont autant d’atouts pour limiter également l’emprise de la maladie sur la qualité de vie.